Never Say Never (Vitale Brothers #4) -Brea Alepoú & Skyler Snow - Résumé & Avis

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La version originale – Never Say Never (Vitale Brothers #4)

Never Say Never (Vitale Brothers #4) -Brea Alepoú & Skyler Snow

I’d do anything for my family. Even go undercover and devote my life to the FBI so they can continue to thrive. Everything I do is for the Vitale name. I just have to focus, complete my job, divert attention and stay out of trouble.

But trouble finds me.

Not just me, but York Washington. He’s my boss, but more than that he’s my friend. When he and his daughters are thrown into danger I have no choice but to step into the light. Finally, I get to go back home.

But home is a strange hellscape I no longer understand.

While a war wages on, I’m caught between who I am and who I was with a man I’ve betrayed. There’s no happily ever after for me.

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La version française

Le roman n’est pas encore traduit en français.

Mon avis

Moi qui trouvais que mes critiques de cette série se suivaient et se ressemblaient ! On va pouvoir changer avec ce quatrième tome qui est à mes yeux… complètement raté. J’attendais ce tome avec un peu d’impatience, le côté sous couverture pendant des années, boss/employé, enemies-to-lovers, il y avait beaucoup de jolies promesses mais la réalisation est loupée. Explications.

Tout d’abord, le roman est divisé en deux parties, une première partie où Paul est sous couverture. Je ne vais pas y aller par quatre chemins, c’est ennuyeux. Il ne se passe pratiquement rien, ils n’ont aucune alchimie, leur relation paraît très superficielle.

Ensuite, deuxième partie, la vérité éclate et ils se retrouvent en proximité forcée. Paolo dévoile donc sa vraie personnalité de tueur psychopathe qui aurait sérieusement besoin d’un psy. Il est absolument chiant mais dans le sens pénible du terme. Il s’impose complètement dans la vie de York, niveau consentement on repassera (sur tous les plans). Leur relation passe de simples collègues qui passent du bon temps ensemble à “tes enfants sont les miens” et “je sais que tu m’aimes”. Euh clairement là c’est carrément flippant. En tant que maman, si je couchais avec un collègue quelques fois pour remettre le pied à l’étrier et qu’il commençait à appeler mes enfants les siens et à prendre des décisions pour eux sans me concerter, ça ne passerait pas du tout. Surtout quand on sait qu’il a rencontré les filles de York par un concours de circonstance et que ce n’était pas du tout une volonté de York.

La possessivité de Paolo atteint un point complètement absurde. Il est jaloux quand quelqu’un va cuisiner pour York et sa famille ou d’un garde du corps dans l’appartement avec eux ? Mais enfin, personne ne supporterait ça (là dessus au moins les autrices sont cohérentes). Si on enlève son côté “Dark et sexy” (que je ne ressens pas), le mec est carrément flippant et je trouve que leur relation n’est pas du tout normale, j’ai envie que York s’en aille. J’en suis rendue à sauter les pages des scènes de sexe car je n’y crois plus du tout et je n’ai absolument pas envie de lire ça. J’ai l’impression que Paolo s’est complètement imposé à York, c’est déséquilibré au possible, on a tout le schéma d’une relation abusive.

Je sais que les premiers tomes n’étaient pas forcément sains mais je trouvais qu’il y avait des moments de complicité et moins de déséquilibres. Ici, le rapport de force n’est clairement pas bon du tout. Les dernières pages relèvent un peu le niveau et passent bien plus vite que le reste du livre mais je reste tout de même sur mon avis initial. La lecture a été poussive et j’avais hâte de terminer le roman. On n’est pas passé loin du DNF. Je vais d’ailleurs faire une petite pause dans la série avant de lire le cinquième tome.

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