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La version originale – The Queen & the Homo Jock King (At First Sight #2)
Do you believe in love at first sight?
Sanford Stewart sure doesn’t. In fact, he pretty much believes in the exact opposite, thanks to the Homo Jock King. It seems Darren Mayne lives for nothing more than to create chaos in Sandy’s perfectly ordered life, just for the hell of it. Sandy despises him, and nothing will ever change his mind.
Or so he tells himself.
It’s not until the owner of Jack It – the club where Sandy performs as drag queen Helena Handbasket – comes to him with a desperate proposition that Sandy realizes he might have to put his feelings about Darren aside. Because Jack It will close unless someone can convince Andrew Taylor, the mayor of Tucson, to keep it open.
Someone like Darren, the mayor’s illegitimate son.
The foolproof plan is this: seduce Darren, and push him to convince his father to renew Jack It’s contract with the city.
Simple, right?
Wrong.
La version française – Au premier regard, Tome 2 : Dis-moi que je rêve
Est-ce que vous croyez à l’amour au premier regard ?
Ce n’est absolument pas le cas de Sanford Stewart. En fait, il croit plutôt à son parfait contraire à cause de l’Homonarque du Stade. Darren Mayne semble, en effet, ne vivre que pour semer le chaos dans sa vie parfaitement organisée. Sandy le déteste, et rien ne le fera jamais changer d’avis.
Ou du moins essaie-t-il de s’en convaincre.
Mais lorsque le propriétaire du Jack It – le club où Sandy se produit en tant que Helena Hansbasket, drag queen – lui demande son aide en désespoir de cause, Sandy réalise qu’il devrait peut-être mettre ses sentiments pour Darren de côté. Parce que le Jack It fermera ses portes à moins que quelqu’un persuade Andrew Taylor, le maire de Tucson, de le laisser ouvert.
Quelqu’un comme Darren, le fils illégitime du maire.
Le plan est simple : séduire Darren et le pousser à convaincre son père de renouveler le contrat du Jack It avec la ville.
Simple, n’est-ce pas ?
Pas tant que ça…
Mon avis
★★★★ 4,5/5
Ce qui est assez épatant avec TJ Klune, c’est que même lorsqu’il décide de construire une histoire sur un scénario bien connu, ici, celui du faux petit ami, il arrive à twister l’histoire pour rendre l’ensemble imprévisible. Je l’admire vraiment pour ça !
J’hésitais à lire ce tome car je n’avais pas accroché au personnage de Sandy dans le premier tome et je trouvais son personnage de Helena un peu méchant. Au final, ça aurait été vraiment dommage de passer à côté car ce deuxième volet est vraiment très drôle. On retrouve notre bande d’amis de « Tell me it’s real » mais l’histoire est centrée sur Sandy et Darren.
Les deux personnages principaux ont des caractères affirmés, encore plus quand Sandy est Helena. Ils sont donc moins attachants que Paul et Vince qui étaient vraiment des chamallows mais ils sont très drôles et ils ont tous les deux ce sens de l’amitié qui rattrape les moments où ils sont plus odieux, en particulier pour Sandy.
Très honnêtement, ce livre n’a pas de sens. Et c’est pleinement assumé et c’est ce qui est assez génial. C’est drôle, c’est indescriptible, ça fait des (bons) petits pincements au coeur. J’ai vraiment passé un excellent moment à rire toute seule sur ma liseuse.
